Sei Gakuen
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Издевательство {ft. Akiro Gotô}

Invité
Издевательство {ft. Akiro Gotô} Icon_minitimeMar 5 Mar - 16:38
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Now I'm breathing more than air in this fire. I've found the hidden cloud, on the head of someone true. And now I see, he's more than you. More than you… Now I'm breathing more than air in this fire I've found the hidden cloud, on the head of someone true. And now I see, he's more than you. He's more than you. More than you…
1288 MOTS | FT AKIRO GOTÔ 
Taper sur quelqu'un c'est jouissif. C'est génial, car tu te sens puissant, tu domine, tu peux tout faire. Tu as le contrôle de la situation, car l'autre ne fais qu'encaisser tes coups. Tu pense comme ça ? Non ? Bah Joe lui, pense comme ça. S'il tape c'est parce qu'il aime ça, il kiff ça. A chaque fois qu'il tape un nouveau il a ce sentiment de dominer toute la jeunesse de Sei. Il a cette sensation d'être le plus fort, d'être celui qui fait peur, celui qu'on respecte. C'est cette impression qui fait battre son cœur, qui fait circuler son sang, et les combats qui fournissent toute son adrénaline. Il adore frapper, il adore jouer avec les nerfs des autres, sentir ses poings s'écraser lourdement sur les os et les muscles de sa victime, il aime le bruit des os qui craquent, et il aime le sang et les bleus. Joe est un gros sauvage, Joe est une vraie brute. Mais ça je pense que tu l'as remarqué, Akiro. Bah ouais, faut avouer qu'il aime particulièrement te brutaliser. Peut-être parce que tu ne veux pas te défendre ? Quand il te frappe, c'est limite t'en as rien à foutre. C'est étrange... Notre russe il aime pas ça, il préfère entendre les gens crier, voir la peur dans leur regard. Mais toi, on sent que tu as peur, mais tu ne veux toujours rien faire. Quand lui, il tient quelqu'un par le col et qu'il le menace de son poing, les gens le griffe, il le frappe, il tente de s'échapper... Mais toi rien. C'est peut-être pour ça qu'il te considère comme spécial, c'est peut-être pour ça qu'il s'acharne toujours sur toi. Tu t'en sors toujours avec des bleus atroces, des contusions à faire peur aux médecins et souvent un teint livide à en faire pâlir Mickeal Jackson. Et malgré tout ce qu'il te fait, tu ne réplique toujours pas à ses provocations. Combien de fois il t'avait bousculé dans les couloirs rien que pour que tu réagisse et que tu lui gueule dessus ? En fait tu lui gueule dessus mais tu ne lève jamais la main sur lui. Tu vois, ça l'insupporte. En fait il voudrait que tu réagisse, que tu dise non... Que tu agisse en homme. Que tu hurle, que tu crache tes tripes et que tu lui fasse enfin peur. Peut-être que là il te respectera. Il veut que tu lui prouve que tu n'es pas une fillette ou même un punching-ball mais bien un aristocrat, un mec, un vrai. Mais t'as 14 ans aussi, t'es jeune, lui il en 19... Alors pour lui c'est facile de penser comme ça, pour toi c'est plus dur. Mais putain, qu'est-ce qu'il aimerait que tu le frappe et que tu lui fasse mal, que tu lui fasse comprendre que t'existe en tant qu'humain merde !

C'est dans cette envie là, dans ce mélange de violence et d'envie, qu'il t'as encore une fois attrapé par le col à la sortie du cours de sport. Son regard rougeâtre s'est plongé dans le tien, et tu sais alors qu'il va se suivre une looongue séance de boxe. Enfin de boxe... De bizutage excusez moi. Son sourire étiré sur son visage, Joe contemple la proie que tu es et hausse ses sourcils. Allez, gamin, prouve lui que tu vaux mieux que l'image qu'il a de toi ! Il te jette violemment dans le gymnase et ferme la porte, histoire qu'une personne viennent vous déranger. Il s'assure qu'un regard ne viendra faire chier et aller rapporter, quoique tu pourrais le faire toi, mais t'as décidément aucun cran d'après lui. Ton col te soulève alors du sol, tandis que Joe murmure quelques mots en russe. Il t'as posé la question prêt à me servir de défouloir ? car voila ce que tu es pour lui : un foutu défouloir incapable de retenir ses coups, incapable d'obtenir son respect. Réagis. Son premier coup fuse, il écrase ta pauvre joue d'adolescent contre ta mâchoire et tu tombe alors lourdement sur le sol. Il retrouvait ce sentiment jouissif qu'il avait à chaque fois qu'il faisait ça. Il retrouvait cette envie de frapper quelqu'un rien que pour ressentir ce sentiment de domination. Il aime ça, bien sûr. Fumer, boire, taper, fucker. Voila les quatre mots qui régissent sa vie. Son regard se pose dans le tien et il recherche alors la confrontation, la réaction qui pourrais tout changer. Il cherche à te voir réagir, mais non pas avec les mots, mais avec les bras. Un orange sans force physique, c'est pas un orange, désolé. Alors mec, bouge ton cul et va le frapper, même s'il te refrappe ensuite, t'en as rien à foutre, tu n'as rien à perdre ! Son second poing te détruit les côtes et de rendre dans la cage thoracique, coupant ta respiration et te donnant l'impression d'aller vomir dans les trente secondes qui vont passer. Joe ricane et ait plutôt fier de son coup, tandis que toi tu as mal, et tu souffre. Son pied se pose sur ton torse tandis que tu essaye de reprendre ton souffle. Bordel, par pitié, fait quelque chose, tu vas pas te laisser faire quand même !

« Bah alors, Akiro. T'as du mal à respirer ? Mec, dans toute société y'a des forts et y'a des faibles. Faut croire que t'appartiens au bas de la chaîne alimentaire. »

Il te provoque, il te nargue. Il se vante la domination sur ton maigre corps, et il te dénigre pour être l’équivalent d'une petite merde. Mais au fond, il voudrait que tu réagisse, il voudrait que tu te lève et que tu lui foute une bonne droite et non pas une giffle de tapette. Un vrai truc de mec quoi. Il fait tout pour du moins. Son sourire s'étire encore plus et passe de la provocation au sadisme. Tu es sa victime, son jouet, son punching-ball. Pour lui c'est si simple de te faire mal. Il enfonce son pied dans ton ventre, doucement mais sûrement, de façon à te faire mal plus lentement... Il faut vraiment que tu réagisse... Akiro, il va te bizuter comme un malade. Tu vois pas son sourire sadique ? Ce sourire de gros fourbe, ce sourire de drogué qui se sent supérieur ? Il faut qu'il redescende sur Terre là ! Moi je suis de ton côté, alors par pitié fous lui une droite ou une gauche histoire de te faire enfin respecter ! Son pied est enfoncé dans ton estomac, il voit très bien que tu as mal, que tu souffre, mais il en a rien à foutre. Tu es une merde, maintenant assume. il s'assoit sur toi, retirant son pied et se mettant à ta hauteur, te narguant. Il t'attrape par le col une nouvelle fois et te soulève, du moins il soulève le haut de ton corps, vu que le bas est coincé par son poids. Joe te lèche lentement le cou, histoire de bien apprécier sa proie, de bien faire mumuse avec son boulet, son jouet. Puis ses yeux rouges perçant cherche les tiens. Ils cherchent la provocation et la haine dans ton regard. Il est vraiment maso sur le coup, à vouloir se faire taper. En un sens c'est se faire dominer, dans un autre c'est de la difficulté. Et il adore quand y'a du piment, c'est que la proie, le jouet est mieux que les autres. Tu compte pas être une proie facile, Akiro ? ça je le sais, c'est pas dans ton tempérament...

« ça ne t'as jamais traversé l'esprit de ... te rebeller ? De ne plus accepter mes coups, Akiro ? »


Il en a un peu marre, il se lasse de ton laxisme, il se lasse de ces bizutages sans que tu oppose une once de résistance réelle. Il veut que tu prenne conscience de ce qu'il veut lui. En fait, il veut que tu te libère de lui, mais ce par toi-même. Il te provoque, il te cherche, il te frappe, il te soumet... Mais tu trouve toujours le moyen de le supporter. Quel homme peut supporter ça ? Quel homme apprécie se faire bizuter, n'exister aux yeux d'un homme que pour se faire taper, que pour être un jouet ? Akiro, libère toi. Pète un bon coup et frappe ce con. Joe n'attend que ça... Il attend que sa docile proie se transforme en un fauve, et qu'il aie enfin du mal à te soumettre. Il veut un combat. Il veut pas uniquement du bizutage et de la soumission facile. Il veut de la difficulté. Offre lui en, petit orange.
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Издевательство {ft. Akiro Gotô} Icon_minitimeDim 10 Mar - 11:20



C'est fini
C'est fini

Joe... Tu y penses parce qu'il n'est pas venu te voir depuis longtemps. D'habitude il te tombe dessus régulièrement mais là ça fait longtemps. Au fond de toi tu espères qu'il ne viendra plus, qu'il t'as oublié; mais tu n'y crois pas trop. La dernière fois il t'a dit qu'il reviendrait. Alors, lorsqu'un mec t'attrape par le col en sortant du cour de sport tu sais que c'est lui. Sans même le regarder, tu sais que c'est Joe. Et là tu sais aussi que tu vas te faire boxer, brutaliser. Tu sais ce qui va se passer et tu le crains. Pourquoi ? Parce que ce mec s'en prend à toi depuis... Tu ne sais pas depuis quand. Sans doute depuis le début. Tu sais qu'il va te jeter à terre, te frapper, te rabaisser. Tu te surprends à espérer que ce ne sera rien, qu'il ne va pas faire grand-chose. Mais tu sais que quand tu sors de là tu fais peur aux infirmières. Tu lèves les yeux vers lui. Ton regard n'est pas implorant, tu sais que ça ne servirait à rien, au contraire. Tu ne lui montres pas de la peur non plus. Ton regard est neutre, comme toujours. Et ça l'énerve, tu le sais. Joe veut que tu le frappes, que tu te défendes, tu le sais aussi. Et c'est peut-être pour ça que tu ne fais rien. Tu ne veux pas faire ce qu'il veut que tu fasses. Tu ne veux pas lui donner cette satisfaction.Mais il n'y a pas que ça, pas vrai ? Il y a d'autres raisons. Si tu pouvais le frapper tu l'aurais fait, mais avec la force de mouche que tu as... De toute façon tu ne saurais même pas où frapper pour lui faire mal. Mais ce n'est pas tout. Même si tu avais assez de force tu hésiterais, non ? Comment tu pourrais le boxer, lui, le mec que tu aimes ? C'est étrange, aimer quelqu'un qui te maltraite. Déjà quand tu le voyais, avant qu'il ne commence son bizutage tu le trouvais attirant. Et peu à peu, sans que tu ne saches pourquoi tes sentiments ont évolué, jusqu'à ce que tu ressentes de l'amour. Tu l'aime mais tu ne comprends pas pourquoi. Malgré ça tu en as marre. Marre qu'il te rabaisse, marre de devoir inventer une histoire pour répondre aux questions du médecin, marre de te faire frapper, tout simplement. Mais tu ne sais pas quoi faire.

Tu n'as pas le temps de réfléchir. Joe te jette dans le gymnase avant de fermer la porte pour être certain que personne ne vous dérangera. Ensuite il vient te soulever par le col en te murmurant des mots russes, tu ne comprends pas, tu ne veux pas comprendre. Le coup qu'il te met dans le mâchoire tu le sens bien, il te fait tomber d'ailleurs, mais tu sais que ce n'est rien, ce n'est qu'un échauffement. Ce qui va venir sera pire, bien pire. Ça ne tarde pas. Avant que tu ne puisses te relever il s'attaque à tes cotes, tu te plis en deux cherchant ta respiration pendant que ton tortionnaire ricane en posant son pied sur ton torse. Tu as beau avoir l'habitude ça fait toujours aussi mal.

▬ Bah alors, Akiro. T'as du mal à respirer ? Mec, dans toute société y'a des forts et y'a des faibles. Faut croire que t'appartiens au bas de la chaîne alimentaire.

Tu es vexé mais tu ne répond pas, tu ne peux pas, tu cherches toujours à reprendre ton souffle. Et pour te rendre la tâche plus difficile Joe enfonce son pied dans ton ventre. Malgré la douleur tu ne dis rien, tu ne cris pas, tu ne gémis pas, rien. Ça impressionnerait certains, ça en énerve d'autre, tu n'es pas tombé sur le bon mec. Quand il retire enfin son pied tu as retrouvé ton souffle et tu respires un peu mieux. Il s'assoit alors sur toi et tire le haut de ton corps. Cette position n'est pas confortable mais c'est le dernier de tes soucis. En ce moment tu n'as aucune idée de ce qu'il va faire. Tu n'essaies pas de te libérer, dans cette position il est avantagé et tu ne ferais que te blesser. Tu te contentes donc d'attendre la suite. Là il te lèche le cou, tu ne t'attendais pas à ça, tu es surpris oui mais aussi humilié. Pourquoi ? Tu ne le sais pas mais c'est un fait et que personne ne soit là pour voir ça n'y change rien. La phrase qu'il prononce ensuite te fais réagir.

▬ ça ne t'as jamais traversé l'esprit de ... te rebeller ? De ne plus accepter mes coups, Akiro ?

Tu ne sais pas quoi répondre. C'est sans doute la première fois. Les mots se bouscule dans ta tête mais tu n'arrive pas à former LA phrase comme tu le fais si bien d'habitude. Bien sûr que si tu y as pensé, plusieurs fois. Mais tu ne sais pas quoi faire. Comme Joe ne semble pas vouloir te frapper pour l'instant, tu te mets à réfléchir. Tu penses avoir une où deux minutes avant qu'il ne s'impatiente et ne se remette à jouer. Car pour lui c'est un jeu, tu le sais. Tu as compris ça comme beaucoup d'autres choses à propos de ce mec. Tu profites donc de ce temps précieux. Là tu l'attrapes par le col, tu le tiens comme lui il te tient. Tu le regardes dans les yeux. Ton regard n'est pas neutre cette fois, c'est un regard déterminé que tu lui lances. Mais il y a aussi de la colère dans tes yeux. Pas envers Joe mais envers toi-même. Tu t'en veux de ne rien pouvoir faire, d'avoir peur. Car en ce moment tu es mort de peur, mais tu le caches.

Arrête ça Joe !

Tu continues de le fixer et tu attends le coup. Parce que tu sais qu'il va venir ou du moins tu t'en doutes. Et dans cette position avantageuse Joe peut faire ce qu'il veut de ton faible corps. Ce que tu as fait est peut-être insignifiant mais ce n'est que le début. Tu ne vas plus te laisser faire, tu en as assez. C'est fini !

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Издевательство {ft. Akiro Gotô} Icon_minitimeLun 22 Avr - 2:21
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Now I'm breathing more than air in this fire. I've found the hidden cloud, on the head of someone true. And now I see, he's more than you. More than you… Now I'm breathing more than air in this fire I've found the hidden cloud, on the head of someone true. And now I see, he's more than you. He's more than you. More than you…
1084 MOTS | FT AKIRO GOTÔ
Joe c'est un enfoiré. Ce mec n'a aucune pitié. Taper sur plus jeune que lui, ça ne lui fait pas peur et provoquer les plus grands non plus. Il n'a pas de limite et c'est aussi pourquoi c'est un immature. Il ne sait pas s'arrêter, il ne sait pas où se situe le respect sur son échelle des priorités. le seul respect qu'il doit avoir c'est celui envers son père et envers lui même. Narcissique ? Non pas trop, juste hyper fier. Pour lui un Flinchers c'est un dur, un vrai. Alors avoir de la pitié et des remords très peu pour lui : c'est un signe de faiblesse. Alors quand il te pose cette fameuse question dans cette situation de domination, ce n'est pas par pitié ou par prise de conscience. Mais plus par simple envie de jouer. Oui, il joue avec toi, il joue avec tes nerfs, tes sentiments, ton honneur. Pour lui tu n'as pas d'importance à part celle que tu lui sers de défouloir. Il veut juste pimenter la chose, te donner des espoirs pour les écraser ensuite lentement avec le sadisme dont il est capable. C'est bizarrement dans ces moments là, où il fait mal aux autres, où il écrase les autres que notre albinos se sent si puissant. C'est étrange et sadique, mais c'est comme ça. Son poing fermé sur ton col, son corps sur le tien, il ne t'offre pas de possibilité de fuir, ni même de cogner. Car il pourrait facilement t’assommer si l'envie lui vient. Il veut juste que tu témoigne d'un minimum de sentiment, juste un tout petit peu pour savourer ce moment et le graver dans sa mémoire. Il ne sait rien de toi, il ne sait rien de ce que tu ressens, et c'est ça qui le dérange : qu'est-ce que ça te fais de te faire taper dessus ? Cette question, sans réponse, c'est sûrement ça qui le force à te frapper encore et encore tout les jours jusqu'à ce qu'il soit obligé de s'arrêter car tu agonise...

Alors quand tu l'attrape par le col comme il te tient, il ouvre légèrement les yeux. C'est bien la première fois que tu tente ce genre de chose. Joe aurait très bien pu esquisser un sourire en coin, un petit signe de moquerie, mais il n'en fit rien. Il attends la suite. Ton regard transcrit toute ta colère et ça le satisfait intérieurement. Il se dit enfin, enfin tu réagis ! Et tes mots, ces simples petits mots le font alors sourire, car il ne peut plus retenir la satisfaction qu'il a « Arrête ça Joe ! » Un ricanement traverse ses lèvres et il t'attrape le poignet avec force avant de le tordre doucement. Créer des espoirs aux gens pour les anéantir d'un revers de main, c'était si jouissif. Il vient d'obtenir ce qu'il voulait, il vient de te faire avouer tes sentiments et toute cette colère que tu as envers lui, et envers toi-même. Car oui, il a repéré cette lueur, cet honneur fragilisé par les coups qu'il te donne. Et ça aussi, ça le rend puissant, ça le rend tellement fier. Il plisse ses yeux rouges sanguins qui t'analyse pour observer la douleur qui se dessine doucement sur ton visage, et si tu ne l'exprime pas assez à son goût, il continue d'appuyer sur ton maigre poignet, jusqu'à ce qu'un gémissement l'arrête. Il voulait te faire lâcher, car tuas exprimer ton opinion, soit, nous sommes en démocratie, mais lui, c'est le dictateur. Il a encore envie de te provoquer car pour lui, ce n'est pas encore assez. Le mieux serait que tu te redresse et qu'enfin tu lui donne un coup. Oui, ça ça serait la récompense ultime à tout ses efforts pour te faire réagir. Alors d'un air innocent, il lâche ton poignet et se redressa avant de se retourner vers toi, tout sourire, comme s'il ne s'agissait que d'un simple duel sans bizutage :

« Pourquoi ? ça fait mal ? »

Oui c'est un vrai connard, et un fourbe qui plus est. Il sait pertinemment que ce qu'il t'inflige il ne pourrait pas supporter le dixième. Alors à force il se demande comment tu peux, toi, le faire ? C'est vrai quoi, tout les jours, tout le temps, avec des blessures atroces, on sait très bien que ce n'est pas agréable, alors y'a anguille sous roche. Et Joe au travers de sa petite manipulation et de ses provocations intempestives, il compte bien le découvrir par quelque moyens que ce soit. Il met ses mains dans ses poches et te regarda à moitié agonisant sur le sol. En fait, cette scène convient parfaitement à la vision des aristots qu'il a. Oh oui, il a beau en être un, il en a rien à foutre, pour lui ce n'est pas bien important. Il n'aime pas les orange, il déteste ça, alors autant dire que pour lui, en bizuter un, c'est normal. Il fait parti de ce groupe mais combien de fois il avait regretter d'avoir dis oui, mais juste à cause de son putain d'honneur il ne veut pas retourner sa veste. Ah c'est ça d'être trop fier... Alors il se venge en faisant du mal aux nouvelles recrues, au plus jeunes et surtout en étant aussi actif qu'un mollusque. Lui tout ce qu'il veut c'est son petit plaisir personnel et la baston de temps à autres. Ses yeux rouges t'examinent alors un peu plus attentivement. Quoi ? Tu es surpris qu'il te laisse tranquille quelques secondes ? Oh, faut gaffe, avec lui on ne sait jamais combien de temps tu peux être tranquille. Il arque un sourcil et puis haussa les épaules avec un de ses sourires moqueurs insupportable, comme s'il te jugeait jusqu'au plus profond de ton être. C'est marrant. Puis il sort son paquet de cigarette et s'en allume une. Qu'on soit à l'intérieur on s'en fout non ? Puis avec toute la froideur dont il est capable et l'agressivité qu'il peut faire preuve il te dit cash:

« si tu veux que j'arrête va falloir m'arrêter avec tes poings. Et hors de question que tu t'esquives cette fois. »

Le russe n'était ni énervé, ni moqueur : il était juste sérieux. Trop sérieux. Il prit la première taffe de sa cigarette avant de froncer les sourcils et de te regarder. Oui, hors de question que tu t'esquives. Tu venais de lui donner un ordre, alors maintenant à toi de te faire persuasif. Et pour Joe, la persuasion ça passe avant tout par les poings.


hrp:
Invité
Издевательство {ft. Akiro Gotô} Icon_minitimeLun 22 Avr - 23:45

En fait, T'es qu'un mec qu'a pas confiance en lui
En fait, T'es qu'un mec qu'a pas confiance en lui

T’es pas malin en fait. T’aurais pu attendre d’être dans une position plus favorable pour ouvrir ta bouche. Tu supporte ses coups depuis longtemps t’aurais pu attendre encore un peu. Mais non ! ça à été très facile pour lui de te faire mal après ça. Après avoir laissé sortir un ricanement il a attrapé ton poignet et l’a tordu. Ce n’est pas grand-chose mais tu soufre et, surtout, tu te sens con. Tu aurais du faire comme d’habitude, ne rien dire, ne rien montrer. Tu serais sorti du gymnase avec à peu près les mêmes blessures qu’a chaque fois et il serait venu te voir quelques temps plus tard pour recommencer son petit jeu. Sauf que tu l’as ouverte. Tous les efforts que t’as fait pour ne rien exprimer, tout ces efforts et bien ils ne servent plus à rien. Et tout ça à cause de ta stupidité et de trois mots. Tu as perdu ta crédibilité, ton honneur. Encore si ça avait servi à quelque chose. Mais tu as fait ce qu’il voulait, tu t’es rebellé. Tu lui as donné un ordre. Et maintenant il ne va pas te lâcher, il va continuer jusqu'à ce que tu recommence. Tu ne comprends même pas ce qui t’as prit. Tu as pourtant l’habitude de te faire frapper et tu l’avais bien avant de rencontrer Joe, quand tes frère se tapaient une mauvaise note ou se faisaient larguer c’est sur toi que ça retombait. On ne peut pas dire qu’on à moins mal à force, parce que c’est faut. Mais on apprend à cacher sa douleur, à ne plus crier, à garder es émotions pour soi. Alors pourquoi ? Qu’est-ce qui t’as prit ? Quand il te lâche enfin, tu frotte ton poignet endolorit, tu as vraiment crû qu’il allait te le casser, il n’aurait pas hésité s’il en avait éprouvé l’envie.
▬ Pourquoi ? Ça fait mal ?
Tu ne réponds pas, ce n’est pas nécessaire. C’est plus une provocation qu’une vrai question et tu ne répondras plus à ses provocation, tu l’as déjà fait et c’était une fois de trop. Il est là, il te regarde en allumant sa clope. Il te laisse tranquille. Pour combien de temps tu ne le sais pas et c’est presque pire que s’il te frappait. Tu ne supporte pas cette tension, ne pas savoir ce qu’il va arriver, s’il va te frapper ou te laisser partir, ce qui est improbable. Il te fait plus peur lorsqu’il te regarde avec ses yeux rouges, un sourire aux lèvres, que lorsqu’il est occupé à jouer avec toi. En fait, dans ces moments là, il ne s’arrête pas vraiment de jouer. Te laisser imaginer ce qui va suivre, te voir dans le sale état ou tu es, sans défense, obligé d’attendre les coups sans rien pouvoir faire, ça fait surement partit de son jeu. Et c’est ce qui te terrifie, ce mec, il n’y a pas de limite à son sadisme.
▬ Si tu veux que j'arrête va falloir m'arrêter avec tes poings. Et hors de question que tu t'esquives cette fois.
Là tu sais que tu es mal. Tu ne t’es jamais servi de tes poings et ce n’est pas maintenant que ça va changer. Si tu te battais avec un gosse de huit ans tu ne serais même pas sûr de gagner. Jamais tu ne pourras le frapper, tu n’en es pas capable. Mais il ne te laissera pas tranquille tant que tu ne l’auras pas fait. Et même si tu le fait d’ailleurs. Alors que tu es là, par terre, tu te surprends à trembler. Oh c’est imperceptible mais ce sont des tremblements quand même. C’est bien la première fois que ça t’arrive. Ne pouvant supporter plus longtemps d’être à terre alors qu’il est debout tu te lève, difficilement mais tu te lève. Tu ne veux pas être humilié encore plus. Tu marche lentement jusqu’au mur du gymnase et tu t’y adosse. Et là, maîtrisant tes tremblements et enlevant toute trace de peur dans ta voix, tu lui parle.
« C’est parce que les piques t’ont trouvés trop faible que tu t’es retrouvé chez les aristos ? Parce que tu n’étais pas assez fort pour eux ? Je ne peux pas croire qu’un mec comme toi, qui ne parle qu’avec ses poings soit venu délibérément ou au premier choix chez nous. Tu frappe même les personnes de ton propre groupe. En fait t’es comme moi, tu n’en as rien à faire de ton groupe. »
Tu l’as ouvertement provoqué. Tu veux voir comment il réagit quand on le provoque, si lui il est capable d’ignorer les mots comme tu le fais habituellement. Le comparer à toi, à un mec qu’il voit comme faible, à un mec qu’il rabaisse sans arrêt c’est risqué. Mais tu n’as plus rien à perdre de toute façon. Et puis tu vas enfin pouvoir lui dire ce que tu pense de lui, comment tu le vois. Comme un mec qui n’as pas confiance en lui. Un mec qui se cache derrière ses poings, derrière sa violence. Un mec qui doit frapper les plus jeunes et plus faibles que lui pour se sentir puissant et franchement, il te fait de la peine. Tu es là, tranquillement adossé contre ce mur, ton corps endolorit, en face de ton tortionnaire que tu viens d’insulter. Une insulte voilée dans une provocation, certes, mais une insulte quand même. Et tu souris en le regardant. Bien sûr que tu es terrifié, mais cela ne t’empêche pas de t’amuser.

HRP

Ouais elle me plait et t'inquiète ça ne me dérange pas d'attendre ( bon là j'ai fait très vite mais jsuis en vacances et j'ai rien d'autre à faire alors...) mais comment tu fais pour jouer un perso sadique O.o Tu le serais pas un peu ? '^^ Croit moi si ça ne tenait qu'a moi Akiro aurait foutu une raclé à Joe depuis longtemps mais malheureusement j'ai créé un personnage qui n'as pas de force et ne peut pas se battre. Enfin bref j’espère que tu aimeras ♥

© Code par Squeezy de Studio-Graph'
Invité
Издевательство {ft. Akiro Gotô} Icon_minitimeLun 10 Juin - 6:03
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Now I'm breathing more than air in this fire. I've found the hidden cloud, on the head of someone true. And now I see, he's more than you. More than you… Now I'm breathing more than air in this fire I've found the hidden cloud, on the head of someone true. And now I see, he's more than you. He's more than you. More than you…
1464 MOTS | FT AKIRO GOTÔ
Il te regarde, il t'observe, il anticipe chacun de tes mouvements. Il prend sa seconde taffe, tranquillement. Après tout, tu n'es pas vraiment une menace pour lui, n'est-ce-pas ? Tu n'es pas le genre de mec à fondre sur quelqu'un qui t'as frappé précédemment, non. Il sait très bien que pour toi frapper, ce n'est pas possible. Mais contrairement à ce que tu crois, ce n'est pas pour faire le sadique, qu'il t'as demandé ça. Juste pour t'apprendre à te défendre contre des gens comme lui. C'est con, mais il a envie de se fighter pour de vrai contre toi. Il en a marre d'une simple peluche, d'un corps sans âme qui subit des coups, mais qui n'y répond pas. Ce n'est pas drôle et ce n'est ... absolument pas ce qu'il veut de toi. Akiro, tu es un bizu certes. Mais ça l'énerve que malgré tout ses efforts, tu ne répond pas. Oui, tu es son punching-ball, sa propriété privée. Mais merde, au fur et à mesure, il finit par se lasser. C'est pas marrant quand il n'y a pas un minimum de difficulté.

Lorsque tu viens t'adosser contre le mur à côté de lui, il te lance un regard interrogatif. A vrai dire, c'est pas vraiment ce à quoi il s'attendait. Il te demande quelque chose, il te menace, et toi tu vas t'assoir à côté, sans rien dire, sans rien faire...? Il fronce les sourcils. Non, ce n'est pas logique. Enfin pas pour lui. Il se met devant toi, s'accroupit et te regarde de ses yeux rouges effrayants. Il t'interroge du regard. Non, il ne fera pas le premier vers la violence avant toi. Le but c'est que ce soit toi, qui finisse par en avoir complètement assez. Il veut te voir céder et non pas faire ce que tu fais, où là il a plus l'impression que ce que tu viens de lui demander, tu ne l'as pas pris au sérieux. Il ne comprend vraiment pas. Il est devant toi, à quelques centimètres de tes jambes, ce serait tellement facile de lui mettre un coup bien placé et de fuir. Mais alors pourquoi tu ne le fais pas ? Tu as peur ? Tu trembles ? C'est quoi le problème ? Depuis tout ce temps tu aurais du réagir. Il commence à réfléchir, puis d'un coup, tes mots font siffler ses oreilles, et plisser ses yeux, sa cigarette entre ses lèvres. « C’est parce que les piques t’ont trouvés trop faible que tu t’es retrouvé chez les aristos ? Parce que tu n’étais pas assez fort pour eux ? Je ne peux pas croire qu’un mec comme toi, qui ne parle qu’avec ses poings soit venu délibérément ou au premier choix chez nous. Tu frappe même les personnes de ton propre groupe. En fait t’es comme moi, tu n’en as rien à faire de ton groupe. » Son visage se ferme d'un coup. Pardon ? Alors là Akiro, t'as ... vraiment vraiment du souci à te faire. Joe, quand il est blessé, ou quand on lui renvoie ses erreurs ou sa nature profonde en pleine gueule, il devient plus que violent. Et là ça risque de ne pas échapper à la règle. Tu l'as blessé, même s'il ne laisse rien paraître. Il en faut peu, c'est vrai. Mais t'as dit la vérité. Et ça malheureusement, c'est une chose que Joe n'a pas encore le courage d'affronter.

Il ne répond pas au début, il reste là, ferme et sérieux à te regarder. Il est inexpressif. Il n'a rien dit, il n'a rien démontré. A vrai dire, il bug un peu. Il finit par avoir un sourire légèrement en coin, un de ces sourires ironiques qui ne laissent rien présager de bon. Puis soudainement le coup part, et son poing traverse limite ton estomac d'une force inouïe. Non Akiro, il ne fera rien de plus, mais ça ça suffit déjà amplement. C'est limite plus que tout les coups que tu as subi aujourd'hui. Il t'empêche de respirer puis approche lentement son visage du tien. A vrai dire, il est assez content de toi, car tu viens lui prouver que tu n'es pas si con que ça. Enfin si, enfin un peu, mais au moins t'as la fierté d'essayer quelque chose. Même si ce n'est sûrement pas l'effet que tu voulais avoir. Mais sache qu'il ne répond pas à une provocation, mais plus à une vérité. Une vérité qui le complexe : celle qu'il n'a pas le courage d'affronter. Et tes mots, ça sous-entend des choses qu'il se reproche. Et, c'est comme ça qu'il se sent menacé. Sa vraie question est l'as-tu mis à nu ? Il finit par retirer son poing lentement et t'attraper par le menton. Il est toujours aussi inexpressif, mais sa mâchoire est étonnement fermée. Joe te force à relever le regard vers lui, malgré que tu tousse et que tu souffre. Il veut t'effrayer, te forcer à te braquer. Plus jamais il ne veut entendre la moindre vérité sortir de ta bouche. Il lâche juste ses mots.

« j'ai juste eu le malheur de dire oui à un ami pour rejoindre un groupe de merde, oui en effet. Je ne me le cache pas. Je déteste ce groupe. Mais je ne suis pas comme toi. Je suis pas un bizu qui se fait frapper, Akiro. Le pire c'est que je te donne la possibilité de le changer et tu ne fais rien pour. Dis moi pourquoi ? »

Il est agressif. Il est froid. Il est sur la défensive. Oh ça oui, il n'a jamais été si haineux et sérieux avec toi. D'habitude c'est plus de la moquerie et de l'ironie qui sont dessinées sur son visage. Là, non. Rien. Rien que de la haine. Continue comme ça Akiro, à vrai dire tu casse lentement sa carapace épaisse. On pourrait croire que tu perd à cause des coups qu'il te donne, mais en fait, c'est plutôt toi qui gagne. On dit souvent que le psychologique est plus efficace que la force physique. Ici est un exemple : car ses réactions et son impulsivité prouve bien qu'il y a une part de vrai dans chaque chose que tu dis. Mais Joe, c'est avant tout la violence. Et il ne compte pas se laisser faire comme ça, se laisser démasquer par toi. Ou par n'importe qui d'autres. Il ne veut pas être démasqué. Le garçon qu'il est vraiment, ce petit complexé mal à l'aise et qui se cherche toujours, il veut que ce soit un mythe, et non pas la réalité. Joe c'est juste une carapace, c'est loin d’être ce qu'il est vraiment. Et il sait, il a peur, que tu pense de lui que ce soit un mec qui n'a pas confiance en lui-même. Or, c'est bien là la base : il n'a pas confiance en lui. Il est atrocement meurtri au plus profond de son être par son enfance, il est meurtri par temps de choses, qu'il fait qu'il ne veut pas qu'on le prenne pour cet enfant, cet adolescent en constante recherche d'attention ou de confiance. Et ça c'est son pire cauchemar. Si on fait bien attention, on voit que Joe n'est pas à l'aise. Le russe se sent piégé, il n'a pas confiance. A vrai dire, ses quelques vérités que tu viens d'énoncer l'effraie. Pourquoi ? Car il est mis à nu, tu le défie sur son terrain. Et ça il n'aime pas.

Mais, contrairement aux apparences. On pourrait croire, tu pourrais croire que Joe va te faire ta fête. Mais au contraire, il vient de se mettre à réfléchir. Au fond, tu n'es pas si différent de lui et il n'est pas si différent de toi. Ce n'est pas une insulte, plutôt une vérité. Tu es peut-être un bizu, mais avec sa force et son caractère, tu ne le serais pas tant que ça. Ta langue de vipère d'aristocrat, c'est juste... Une défense. Tout comme ses poings. Sauf que le psychologique, c'est parfois moins direct que les coups. Il finit par se redresser en lâchant ton menton et de fumer une longue taffe. Il se mit dos à toi, la mâchoire crispée et l'air énervé. Putain, il n'aime pas ce retournement de situation. Il n'aime pas perdre le contrôle, c'est pour ça qu'il s'empresse d'un coup de te ramener à l'ordre et de te dépêcher.

« Hein Akiro ? Dis moi. Qu'est-ce qui t'empêche de te rebeller à chaque fois ? Avec d'autre t'ouvre bien ta gueule, alors pourquoi avec moi c'est différent ? »

Le rictus de colère qu'il avait témoigne bien qu'il est excédé. Mais non pas par toi, non. Par lui même et par cette foutue nature qu'il a toujours renié. Merde quoi. Tu n'as pas le droit de savoir qui il est vraiment. C'est toi le bizu, le mec inoffensif, pas lui.


hrp:
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Издевательство {ft. Akiro Gotô} Icon_minitimeMer 3 Juil - 19:57




« I love you... Why ?  »


Vous restez quelques instants silencieux, face à face. Aucun de vous ne fais un geste ou ne dit un mot. Puis le sourire vient, le coup part. Fort, puissant. Te coupant brusquement la respiration sans que tu n’es eu le temps de faire quoi que ce soit. Ton dos cogne brusquement contre le mur,  auquel tu es adossé, rajoutant une douleur de plus. Tu ferme les yeux en sentant les larmes monter. Non, tu ne veux pas. Il rapproche son visage du tiens, tu sens sa respiration sur ta peau. Alors tu rouvre les yeux, pour lui faire face. Il retire son poing, lentement, Soulagement. Tu cherche de l’air. Il t’attrape le menton sans te laisser le temps de reprendre ton souffle. Tu as du mal à respirer, tu as mal, au dos, à l’estomac mais un léger sourire apparait sur ton visage. S’il réagit comme ça c’est que ce que tu viens de dire n’est pas totalement faux, et peut-être même, entièrement vrai. Alors tu sais que tu vas gagner, parce que tu  as trouvé la faille. Joe, le mec qui te frappe, qui a le pouvoir sur toi, celui qui te rabaisse, le mec fier et fort, tu as trouvé sa faille. Tu tousse, tu es à sa merci, tu ne peux rien faire, mais pourtant cette « séance » sera différente de toutes les autres. Tu le sais, il le sait aussi. Avoir attendu, avoir supporté tout ses coups et ses caprices ça aura servi à quelques chose. Tu as appris à connaitre Joe, à savoir comment il pensait, à voir ce qu’il était vraiment. Alors tu souris. Oui, cette fois, ce sera différent. Il te force alors à lever la tête vers lui avant de te répondre. « j'ai juste eu le malheur de dire oui à un ami pour rejoindre un groupe de merde, oui en effet. je ne me le cache pas. je déteste ce groupe. mais je ne suis pas comme toi. je suis pas un bizu qui se fait frapper, akiro. le pire c'est que je te donne la possibilité de le changer et tu ne fais rien pour. dis moi pourquoi ?» Alors c’et vrai, il n’aime pas faire partit des oranges. Tu souris intérieurement face à cette « révélation ». ça ne t’étonne pas, tu avais deviné. Mais qu’il te le dise lui-même, tu n’aurais pas pensé qu’il agisse ainsi. Et puis… Il n’est pas comme toi ? Bien sur que si. Certes il n’est pas un bizu comme il le dit mais il est faible. Perdre son sang froid de cette façon de plus face à quelqu’un qu’il considère comme un bizu, un punching-ball ou tout ce qu’il pense de toi, c’est un signe de faiblesse. Et il te le montre encore une fois en se levant et en te tournant le dos, comme pour fuir cette vérité que tu viens de lui balancer. Joe. Il est plus fragile que tu ne le pensais. Bien sûr, tu savais qu’il réagirait à cette provocation mais tu n’avais pas imaginé que ça l’énerverais ou le blesserais autant. Surtout venant de toi. Il continue sur un ton brusque. « hein akiro ? dis moi. qu'est-ce qui t'empêche de te rebeller à chaque fois ? avec d'autre t'ouvre bien ta gueule, alors pourquoi avec moi c'est différent ? ». Il insiste. Tu avais relevé la première question mais tu as volontairement choisis de ne pas y répondre. Pourquoi ? Parce que tu ne sais pas quoi lui dire. Faut-il que tu lui dises la vérité ? Tout au fond te toi ton corps, ton cœur te hurle de le faire mais… Tu as peur, bien plus que de ses coups tu a peur de sa réaction, de ce qu’il pourrait dire, faire. Tu as peur d’avoir mal. Parce que tu sais bien que ces sentiments ne sont pas réciproques mais pourtant, au fond de toi, tu veux qu’il sache. Tu reste longtemps sans rien faire, pour une fois, tu ne réfléchis pas. Non, tu reste là, à le regarder. Tu as presque gagné, mais que va-t-il se passer si tu lui dis ? C’est plus fort que toi. Alors que tu voulais, pour une fois, écouter ton cœur plutôt que ta tête tu n’y arrive pas. Sil le sait, s’il connait tes sentiments pour lui, comment va se passer la suite ? Tu en as marre. D’hésiter, de ne rien faire. Alors tu fonce et tant pis pour les conséquences. Tu as déjà tout supporté alors… Autant te lancer. Tu te lève, lentement et tu lui parle.

« Tu veux vraiment le savoir ? »

Ce n’est pas une question. Il le saura de toute façon, mais il fallait que tu dises quelque chose. Tu t’approches de lui. Tu n’as que quelques pas à faire. Tu pose ta main sur son épaule en douceur et tu le fait lentement pivoter vers toi. Et là, tu pose tes lèvres sur le sienne, fermant les yeux, profitant du geste. Ça ne dure pas longtemps, une seconde, peut-être deux, juste le temps qu’il comprenne. Puis tu te recule. Ce geste vaut mille paroles. Comme ça, tu es sur qu’il comprenne, qu’il sache. Tu n’aurais su mieux lui expliquer avec des mots. Tu ne sais pas si c’est le bon choix, si tu as bien fais mais tu es heureux. Tu le regarde. Il voulait savoir ? Eh bien il sait, maintenant.  

Merde, comment peux-tu ressentir ça pour lui ? Il te frappe, il t’insulte, il te traite comme un merde depuis le début alors pourquoi ? Tu ne le trouve pas particulièrement beau et tu le trouve pathétique alors pourquoi ? Même quand il ta frappé sous la colère tu n’as pas réussi à le détester. Tu vois qu’il prend du plaisir à te faire souffrir, à te rabaisser sans cesse mais tu n’arrive pas à éprouver la moindre haine contre lui. Lorsque tu as percé sa défense tu étais content, tu avais réussi mais en même temps, tu te sentais mal de lui faire ça. Deux sentiments contradictoires t’ont traversé à ce moment là. Pourquoi ?


HRP ♥

Woualou ! Bon ya beaucoup sur les sentiments d'Aki et désolé si c'est chiant mais  c'est comme ça '^^ Dès que j'ai lu ton post je savais ce qu'Akiro allait faire xD ( Kae m'a dit qu'il ramassait pas les cadavres mais je l'ai pas écouté xD Pour moi fallait que joe sache....). J'espère que ça va te plaire ♥

C O D A G E  P A R  @G A K I.  S U R  E P IC O D E
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Издевательство {ft. Akiro Gotô} Icon_minitimeMer 21 Aoû - 12:17
more
Now I'm breathing more than air in this fire. I've found the hidden cloud, on the head of someone true. And now I see, he's more than you. More than you… Now I'm breathing more than air in this fire I've found the hidden cloud, on the head of someone true. And now I see, he's more than you. He's more than you. More than you…
1480 MOTS | FT AKIRO GOTÔ
« Tu veux vraiment le savoir ? » Bien sûr qu'il veut le savoir. Si Joe te pose tant la question, c'est car la curiosité le ronge. Oui, bien entendu qu'il s'intéresse à ça... Et pourquoi? Car il ne comprend pas. Il a beau se mettre à ta place, il ne sait pas pourquoi, mais alors pourquoi, tu supportes tant ? Enfin, tant de coups, tant de haine et peine? Comment peux-tu supporter de te faire rabaisser comme ça? Tu as l'habitude de te faire bizuter, c'est ça ? Ou encore d'être le faible sans arrêt. C'est comme si tu étais masochiste, que tu aimais qu'il te frappe sans arrêt, trois fois par semaine. C'est comme si, malgré tout le mal qu'il te fais et qu'il continue de te faire, tu ne pouvais pas encore le haïr, que tu n'en avais pas la force... Au fond, Joe se doute de la raison. Tu veux son attention, peut-être sa pitié... Pourquoi ? Pourquoi ne rien dire, ne rien faire ? Quel est ce sentiment qui t'empêche de te rebeller? L'amitié? La pitié? La peur? Toutes les questions se bousculent dans sa tête comme un afflux d'informations. Là, pour le moment, dans son crâne, c'est Bagdad. Tu le fais lentement tourner vers toi. Il te dévisage, te toisant de haut, tandis que tu sembles... étrangement doux. Qu'est-ce que tu as ? Soudainement une idée naît dans la tête de notre albinos. Et si... Et si c'était de l'amour ? Si ce sentiment qui fait ta force et ta résistance au coup et au bizutage n'était autre que de l'amour? Joe tente de chasser cette idée de son esprit. Non. Non c'est con. La frontière de l'amour est la haine, et elle est tellement facile à franchir... Tu devrais le haïr pour ce qu'il te fais malgré tes sentiments... Et en plus, il est amoureux d'une fille, d'une mermaid. Il ne peut pas t'aimer. Ce serait dérisoire comme histoire... Ridicule. On est pas dans un shojo là, on est dans la vraie vie. Les histoires à l'eau de rose n'existent pas... Joe radote. Et au fur et à mesure que les secondes passent, il se dit que tu es vraiment très bizarre. Tu n’agis pas comme d'habitude. Tu es doux, délicat, lent dans chacun de ses gestes... Enfin peut-être se focalise-t-il un peu trop sur les détails et bugue un peu trop aussi pour avoir une vraie notion du temps qui passe. Là dans la tête du russe, c'est une flopée de scénarios romantiques style vous allez vous embrasser dans deux secondes... Pfff. Faut pas exagérer, il n'a pas vu juste quand même? Puis soudainement, il sent le contact de tes lèvres, et la chaleur de ton souffle. Et il ouvre grand les yeux...

Deux secondes de bug pour notre russe. Deux simples secondes où vos lèvres se touchent pour un simple baiser. Deux secondes où Joe se demande comment réagir? Frapper ou .... ou faire quoi en fait? Deux secondes qui passent avec une lenteur comme jamais il n'a ressenti. C'est comme ci, tout était devenu plus lent... Il est tellement déboussolé qu'il n'a même pas la force de te repousser alors que son esprit crie stop. C'est bien la première fois qu'il se retrouve dans une situation pareille où il se fait embrasser pour un mec et ça ne lui plaît pas. Faut pas oublier, ce mec est hétérosexuel et il préfère avoir le contrôle sur ce qu'il se passe plutôt que de subir les conséquences des actes des autres autour de lui... D'un coup, une fois vos lèvres séparées, il se retourne et passe le dos de sa main sur sa bouche, buguant toujours autant sur le pourquoi du comment. Simple réflexe. Finalement il avait vu juste, tu l'aime, tout simplement. Il reste un long moment silencieux, se remettant les idées en place. Comment s'appelle ce sentiment déjà? Ah. La culpabilité. Ah c'est pas très agréable ça... Son coeur bat à la chamade. Putain... Là sur le coup, il se sent vraiment con. Il te regarde en se retournant légèrement, toujours un peu choqué. Là encore dans son cerveau c'est : je réagis comment ? Hurler, négocier...? Frapper ? Non. Non ça suffit de frapper. Là d'un coup, il se sent atrocement mal. Il se sent coupable... Coupable d'avoir fait du mal à une personne, fait tant de choses horribles, bizuter une personne qui en fait n'attendait qu'une chose en retour : un espoir. L'espoir de voir un jour cette relation de dominant dominer évoluer... Comme la victime attends que son prédateur se lasse et le laisse partir. Joe déglutit. Pour la première fois de sa vie, il voit plus loin que son nombril, pour la première fois de sa vie, il prend conscience de sa connerie et ... et a envie de se frapper lui-même. Merde. Comment a-t-il pu être un enculé à ce point ? Tout ce mal qu'il a fait... Et il ne s'en rend compte que maintenant. Un simple baiser à eu raison de toute sa logique et de ... de son cerveau. Il est en mode "ma vie déroule sous mes yeux"... Le silence continue de régner dans le gymnase... Les secondes passent toujours au ralenti. Il cligne des yeux puis secoue la tête. Quoi dire ? Quoi faire ? Encore maintenant il sait pas, alors... autant laisser parler son cœur...

« Akiro... Je... Enfin, tu... Toi... Non... »

Pfff... Vraiment rassurant comme mec, Joe. Au lieu de bredouiller, incapable de retranscrire ce qu'il veut dire, il finit par se taire et ranger ses mains qui faisaient des gestes bizarres dans ses poches. Bon dieu... C'est pourtant simple de dire ce qu'il ressent pour une personne et de sortir un mot ... Une excuse! Mais non... Non, ça ne sort pas naturellement, non c'est trop difficile. Foutu orgueil de merde, foutue fierté. Il baisse la tête et pince ses lèvres. Allez, faut vraiment qu'il trouve quelque chose à dire, ça ne se fait pas de garder le silence si longtemps... Enfin tu dois être habitué avec lui d'un côté... Il pose son regard dans le tien, cherchant comme un repère. Oui un repère, car maintenant il perd au fur et à mesure les pieds sur Terre. Il faut vraiment ce genre d'évènement pour se mettre à réfléchir? Car si c'est ça, il va apprendre à prendre du recul par lui-même pour éviter ce genre de situation une nouvelle fois! Ce n'est vraiment pas son truc...

« C'est pas réciproque Aki. Je suis désolé. »

L'honnêteté. C'est la seule chose de censée encore chez notre russe. Et ces mots, c'est la seule chose qu'il puisse te dire. Finalement il t'as fait attendre, il t'as fait espérer pendant tout ce temps. A chaque coup qu'il te donnait, tu ne voulais qu'une chose : c'est qu'un jour il te considère comme un être humain, et non pas une sous-merde... Et jusqu'à la fin il t'auras prouver le contraire. Il aura fallu ce jour-ci, après tant de séances de bizutage express pour qu'enfin il comprenne... Joe se sent véritablement con. Et il aimerait pouvoir te le dire. Il aimerait te dire qu'il regrette, mais maintenant à quoi ça sert? On ne se rend compte des choses qu'une fois qu'on y voit les conséquences... Il déglutit une nouvelle fois et te regarde. Il ne va pas te lâcher un regard épris de pitié parce qu'il t'as foutu un râteau... Il te lance juste un regard un peu triste pour te décevoir jusqu'à la fin... Il n'a rien à t'offrir. Il n'est qu'un connard finalement. Oh, ça il l'a toujours su, mais jusqu'à présent ça ne lui avait jamais causé de problème... Culpabilité quand tu nous tient... Il montre les contusions sur ton visage de l'index avant de soupirer. Chaque bleu, qu'il soit récent ou ancien, invisibles enfin chaque bleu, chaque cicatrice qu'il te laisse, montre à quel point il a fait le con. A quel point il est capable de jouer avec les sentiments des gens... Et le pire dans tout ça, c'est que malgré ses révélations, il est incapable de dire pardon...

« Va à l’infirmerie soigner ça. »

Il te regarde une dernière fois dans les yeux. Il est conscient qu'il ne mérite que ta haine et que ce qu'il t'as fait est impardonnable. Oui, il en est conscient, il le comprend parfaitement... Il baisse juste la tête et se dirige vers la sortie sans un mot de plus. Si tu tiens à le retenir libre à toi, mais là, il veut juste une chose : prendre l'air, aller fumer... Se détendre, peut-être légèrement oublier ce poids qu'il a sur le cœur. Ce poids que constitue la culpabilité. Ce sentiment atroce d'avoir fait du mal à quelqu'un gratuitement et de le briser entièrement avec plaisir, jusqu'à ... jusqu'à sentimentalement parlant. Ce sentiment d'être un monstre. Oui, voila ce qu'il ressent : je suis un monstre.


hrp:
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Издевательство {ft. Akiro Gotô} Icon_minitimeDim 8 Sep - 0:41




« Tu me déçois mec  »


L'attente, toujours l'attente. C'est ce que tu déteste le plus. Quand il te laisse en plan en fumant, quand tu ne sais pas ce qu'il va t'arriver. Et maintenant. Pire que toute les autres fois. Tu ne sais pas ce qu'il va t'arriver. Tu ne sais pas comment il va réagir, ce qu'il pense.  Va-t-il te frapper ? Encore une fois, comme si tu n'avais rien fais ou, au contraire, parce que tu l'as fais ? Va-t-il parler, partir ? Tu ne sais pas,  tu attends, encore et toujours. Et tu déteste ça.

Lorsque tu t’es reculé, il s’est tout de site retourné, tu as pu deviner un geste. Il s’est essuyé les lèvres aussitôt. Pas étonnant. Tu ne sais même pas s'il est bi, hétéro ou gay. Enfin vu sa réaction soit il est hétéro soit tu le dégoûte. Tu choisis de croire la première option.  Il se retourne, il te regarde. Les secondes passent, puis les minutes. Tu ne parleras pas le premier, tu ne ferras rien. A lui de se sortir de cette merde dans laquelle il est enfoncé. Dans laquelle il s’est enfoncé. A  vouloir dominer et tout savoir. Parfois il vaut mieux rester dans l’ignorance. Cette fois, il aurait mieux valu pour Joe qu’il n’insiste pas. Mais le mal est fait. Alors qu’il assume. Il brise enfin le silence pesant sur cette pièce. « Akiro... Je... Enfin, tu... Toi... Non... » Tu réprime un sourire. Et si Joe si. Ce mec, si confiant il y a quelques minutes, celui qui était près à te briser tout les os rien que pour se défouler, celui-là même se retrouve devant toi a ne pas savoir que dire, que faire. Et tout ça a cause d’un simple baiser. Si tu avais su que le déstabiliser était si facile t l’aurais embrassé depuis longtemps, très longtemps.
Le silence refait surface, tu ne parle toujours pas. Qu’y a-t-il à répondre a ça de toute façon ? Qu’il prenne le temps de trouver ses mots, après tout, tu n’es pas pressé. Allez Joe, t’es un caïd, tu ne vas pas laisser ce mec te déstabiliser aussi facilement. Cette fois, il a les yeux baissé. Ça ne lui ressemble pas, vraiment. Que se passe-t-il dans la tête de l’albinos pour qu’il réagisse comme ça ? Tu attends moins longtemps cette fois avant qu’il ne prenne la parole. Mais ce qu’il dit n’est pas vraiment plus intelligent. « C'est pas réciproque Aki. Je suis désolé. » C’est pas réciproque ? Tu manque de t’étouffer et ne peut t’empêcher de lâcher un petit rire. Merde, ce mec est vraiment con. Bien sur que ce n'est pas réciproque.

« Joe, si tu pense que j’ai pu croire une seule seconde que ça aurait pu être réciproque t’es vraiment moins intelligent que ce que je pensais. Comment j’aurais pu penser, espérer ça ? »

Evidemment tu as espéré quelque chose, mais pas qu’il partage tes sentiments. Ça, tu savais que ça n’arriverait pas. En fait, tu espérais beaucoup de choses. Qu’il se lasse, déjà. Qu’il arrête de te frapper pour se défouler ou lorsqu’il n’allait pas bien. Qu’il te considère comme un homme, ensuite. Parce que même si tu n’as aucune force dans les bras, même si tu te laisse faire, t’es un humain, un mec. Et enfin, qu’il comprenne de lui-même pourquoi tu ne faisais rien contre lui. Mais jamais, jamais tu n’as espéré que tes sentiments soit réciproque. Ça n’aurait servi qu’a te faire du mal, et tu n’es pas maso. Tu regarde Joe, il te jette un regard triste. Pourquoi ? Prend-t-il soudain conscience du mal qu’il fait ? ça t’étonnerais beaucoup. Mais bien qu’improbable ce n’est pas impossible. Après tout, son comportement a déjà changé aujourd’hui. Mais s’il pense que son « refus » t’a affecté… Tu t’y attendais, non, tu savais qu’il réagirait comme ça. Joe ne peut pas t’aimer. Et puis, si tu es faible physiquement, il en faut beaucoup pour t’atteindre et tu n’es pas plus troublé, triste ou quoi que ce soit qu’avant que tu ne l’embrasse. Tu as fais ça uniquement parce qu'il voulait savoir. Parce qu'il a insisté.
Il tend le doigt vers ton visage. Vers tes bleus, plus précisément. Il ouvre une troisième fois la bouche, c’est la première fois qu’il te parle autant pour faire autre chose que te rabaisser. « Va à l’infirmerie soigner ça. » Que t'aille soigner ça , c'est tout ce qu'il trouve à dire ? Il le fait exprès ? Eh oh !  C'est lui qui t'as infligé ça et juste après il te dit d'aller te soigner ? Dans la famille "con" je demande Joe. C'est ça que tu penses en ce moment. Sérieusement, ce mec a de vrai problèmes... Il se retourne, baisse la tête et se dirige vers la sortie. Juste ça, comme un lâche. Tu ne l’empêche pas, s’il veut partir, s’il veut passer pour un lâche, libre a lui. Mais tu n’as pas finis, tu as quelque chose a lui dire. Alors tu t’adresse a lui, criant presque a travers le gymnase.

« Et puis c’est tout ? Tu vas fuir comme ça ? Il est passé ou Joe ? Je suis pas tombé amoureux d’un lâche. Non, le mec que j’aime c’est un connard qu’y n’en a rien à foutre de faire du mal au gens. »

Tu fais exprès d’appuyer sur tes sentiments. Tu es conscient que c’est un connard, qu’il n’a que ce qu’il  mérite. Mais le voir comme ça… c’est pas lui. Tu le reconnais pas. Et tu sens une boule dans ton ventre. C'est tellement compliqué…


« Tu me dis que tu ne m’aimes pas –chose que je savais déjà, on ne se demande pas comment – et puis, après des dizaines de séances de bizutages tu me dis d’aller à l'infirmerie ? Tu te fous de ma gueule Joe, vraiment. »

HRP ♥

T'inquiete c'était trèèèèès bien ♥ Bon, Aki n'en a pas fini avec Joe donc... S'il veut il se barre mais bon... J'éspère que ça te plairas ♥♥ #keuuur#keuur aussi et je te domine fort ♥


C O D A G E  P A R  @G A K I.  S U R  E P IC O D E
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